Entre deux journées de tournage avec TAABAR, nous avons tout de même pris le temps de sortir le bout de notre nez pour prendre la température des rues de Jaïpur.
TAABAR (3) – Comment être une femme en Inde ? Réponses.
Dans un précédent article je m’étais interrogée sur la place des femmes en Inde. Pourquoi j’avais la sensation d’être si transparente aux yeux des hommes et surtout pourquoi, sur les sentiers battus du Lonely Planet, elles semblaient toutes s’être volatilisées.
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TAABAR (2) – En Inde, l’école pour s’en sortir
Dans le cadre de notre tour du monde solidaire, nous avons rencontré TAABAR. Une association humanitaire créée en 2008, à Jaïpur dans le Rajasthan, par Ramesh Paliwal.
Son objectif : s’occuper des enfants en déroute. D’abord, les sortir de la rue, les renvoyer chez eux, puis proposer à leurs parents de prendre en charge leur avenir.
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TAABAR (1) – Sortir les enfants des rues de Jaïpur
Ramesh Paliwal a 37 ans, il a grandi à Udaïpur, dans le Rajhastan, au sein d’une famille très pauvre régentée par les caprices de son père alcoolique. Autour de lui, il a vu bon nombre de ses amis faire les mauvais choix de vie, sombrer très jeunes dans la drogue ou dans la prostitution. Mais lui s’est accroché, a décidé d’essayer, s’est persuadé qu’il y avait des raisons d’espérer. Il s’est tenu loin de la rue, a refusé d’aller travailler à l’usine, a convaincu ses parents de l’envoyer à l’école puis de contracter un prêt pour lui permettre d’aller à l’université. Après un master de « social work », il se fait embaucher à la gare de Jaïpur. Mais il est loin d’imaginer que cela va changer son destin.
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Chaîne de solidarité #4 en Inde
Dans les quartiers pauvres de Jaipur, Ramesh a créé l’association TAABAR en partenariat avec La Chaîne de l’Espoir. Grâce à lui, les enfants des rues reprennent le chemin de l’école. Nous les avons rencontrés et ils ont accepté de rejoindre notre chaîne de solidarité. On vous le raconte en image!
Antoine.
Deux pigeons voyageurs en Inde
Aujourd’hui, un petit garçon d’une dizaine d’années est venu m’aborder dans une mosquée. Il me demandait ma bouteille d’eau vide et mes tickets d’entrée usagés, pourquoi ne pas lui donner ? … Mauvaise idée ! Pendant une dizaine de minutes, il m’a harcelé en me demandant de l’argent, parfois implorant, parfois rigolard, sautant et courant autour de moi. J’ai refusé, gentiment, puis fermement. Quand il est reparti, mes poches étaient vides, heureusement je n’avais que 30 roupies sur moi.
Une filouterie parmi d’autres qui font de notre passage en Inde une escale qui nous laisse perplexes, entre émerveillement et méfiance.
Comment être une femme en Inde ?
En tant que fille, on m’avait beaucoup mise en garde sur le comportement des hommes en Inde, et en particulier sur leurs regards parfois extrêmement insistants. Etrangement, je n’en n’ai pour l’instant pas ressenti une seule fois les désagréments. Sans doute le fait qu’Antoine ne s’éloigne jamais bien de plus de 10 mètres de moi y est pour quelque chose
A vrai dire, j’ai même plutôt la sensation inverse : à défaut d’attirer le regard des hommes, je les détourne. Depuis presque deux semaines que nous sommes en Inde, j’ai la désagréable impression d’être devenue…transparente !
Une escapade spirituelle à Mathura
N’ayant finalement pas pu nous rendre à Bénarès (cité sainte de l’Inde, où des millions de personnes font pèlerinage pour brûler leurs morts), nous avons profité de rester quelques jours de plus que prévus à Agra pour nous rendre à Mathura.
Située à 50 kilomètres au nord d’Agra, et septième ville sainte du pays, elle est réputée pour avoir vu naître le dieu Krishna il y a plus de 5000 ans, d’un cheveu de Vishnou, selon la légende.
Plongée dans l’histoire indienne à Agra
Agra. Ce nom parle de lui-même, tant il évoque la merveille du monde qui lui est associée : le Taj Mahal.
Comme les 3 millions de touristes qui s’y rendent chaque année – soit le double de la population de la ville – nous n’avons pas coupé à un passage par l’ancienne capitale de la région de l’Uttar Pradesh, à quelques 150 kilomètres de Delhi.
Récapitulatif – Népal
Deux semaines au Népal, c’est peu, mais toutefois suffisant pour nous avoir permis d’en expérimenter plusieurs facettes. Nous en sommes partis avec des souvenirs mémorables et la ferme envie d’y retourner un jour. Retrouvez ici le récapitulatif de nos aventures.